Quelques mots que j’ai juste retravaillé pour en faire une poésie, en m’autorisant à passer un message au travers de celui-ci, à la personne qui a voulu que je lui réécrit.
Ambiance musicale
Quête éternelle de Jérôme G. Quête Eternelle de Jerome G.Droit d’auteur
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A propos
magnifique poème
il m’a beaucoup émue, rappelant des souvenirs.
très belle plume
merci du passage en mon blog
j’espère encore y relire cette belle plume
merci amitiés Irène
Merci à toi !
Au plaisir de te relire ici ou sur ton blog !
Amitiés
Très émouvant, les larmes me montent aux yeux….
que dire devant un texte comme celui-çi….?….
Je n’y ajouterai rien d’autre car les mots me manquent.
Je t’embrasse bien fort et te souhaite une belle journée qui je l’espère te seras ensoleillée.
Bisous Jer!
Blanche.
Merci Blanche pour ses mots sincères.
Bon samedi !
C’est fou comme ils nous manquent quand ils ne sont plus avec nous…
A celui qui n’est plus
Je regarde ces quelques photos jaunies
Tendres images de ta jeunesse
Ton sourire semblant défier l’infini
Dépose sur mon coeur sa tendresse
Je n’ai pas vu les ans se poser sur toi
Quand j’aurais tant voulu découvrir
Tout ce que tu cachais parfois
En des éclats de voix et de rire
Tu n’avais jamais vu la mer avant ta retraite
Tu la découvris à tes premières vacances
Je devinais dans tes pensées secrètes
Combien tu étais heureux dans tes silences
Nous marchions sur des plages désertes
Heureux en ces heures matinales
Goûtant jalousement cette joie offerte
D’être ensemble en cette courte escale
Parfois, quelques chiens errants
Reconnaissant en toi leur maître
Nous accompagnaient nonchalants
Suivant ton pas , loin de leur périmètre
Les mains dans les poches
Alors tu regardais la mer
Haut perché sur la roche
Tu recevais en riant son écume amère
Ton regard profond interrogeait l’océan
Heureux des vagues qui se brisaient
Tu admirais l’immensité de ces lieux géants
Découvrant un bonheur qui te grisait
Tu avais mon âge d’aujourd’hui
Et j’aimais ces heures chaudes
Des soleils se sont levés depuis
Et dans ma mémoire encore tu rodes
Je me souviens de l’été quatre vingt-cinq
De cette dernière soirée en famille
Tu levas ton verre pour que l’on trinque
Et tu partis sur une dernière peccadille
Vingt ans déjà que tu t’es endormi
L’absence fait toujours mal…. Mais il faut savoir un jour y faire face, en se rappelant des bons souvenirs.
Merci Roland pour ce beau poème.
Amitiés
un beau texte d’amour quand nos êtres chers ne sont plus et que leur présence n’est que dans le coeur.
Merci !
Je passe te souhaiter un très bon week end et te remercier de ton gentil commentaire.
Je te fais un gros bisous Jer.
Merci beaucoup ! Au plaisir !
Je te remercie d’avoir mis ce que j’ai écris et que tu as arrangé.
Merci !
Mam
cette poésie est bouleversante et on ne peut y rester insensible… J’ai les larmes qui coulent sur mes joues toute seule… Je sais que vie et mort ne font qu’un mais c’est la séparation qui est difficile…
Parfois il m’arrive de penser à mes grands parents tellement fort, ils ont été presque mes parents plus que des grands parents que je dois me souvenir qu’ils ne sont plus mais chacun de mes gestes, chacune de mes pensées vont vers eux et je n’ai pas besoin de la Toussaint pour me souvenir de tout ce qu’ils m’ont appris et je sais qu’un jour je les retrouverai… Peut être sous un autre aspect comme moi mais l’amour se reconnait quelque soit sa forme et je saurai à cet instant précis que se sont eux… Et je n’aurai pas peur de passer de l’autre côté du miroir….
Magnifique poème et hymne à l’amour de ceux que l’on aime.. Car l’amour pour moi ne meurt jamais… Nous sommes simplement encombrés d’enveloppes corporelles mais en dehors de ce qui nous recouvrent nous sommes tels que nous sommes et ne changeons jamais…
Bisous
Régine
Ce n’est pas la mort qui fait peur, c’est ce qu’elle engendre, cette absence, parfois brutale, surprenante.
Une séparation que certains ont du mal à faire face, car ils n’ont alors plus la complicité qu’ils avaient avec celui qui a disparu, cet échange ou lien qui les unissait !
Ils se sentent alors bien seul, même lorsqu’ils sont bien entouré. Le lien qui les unissait était tellement fort qu’une certaine dépression les emparent, et ce qu’on peut leur dire n’y fait pas toujours grand chose, car finalement, il faut qu’ils s’en rendent comptent que même. Il faut qu’ils acceptent cette disparition pour pouvoir de nouveau avancer.
Pour certains, c’est plus long que d’autres….
Merci d’avoir aimé ce poème Régine, et de tes mots qui m’ont touchés. Ils seront là, à attendre, peu importe leur forme, tu les reconnaîtras…
Bisous