Trop plein de haine
Sa vie est une peine
Dans la nuit qui se lève
Sa souffrance s’élève.
Parfois il se met à pleurer
À cause des pensées qui le rongent
Et dans les larmes qui l’ont blessé
Il se construit un mensonge.
Sa rage s’accroit et le détruit
Le souffle coupé, écrasé par ses chaînes
Isolé d’une douleur qui s’amène
Il laisse échapper son cri.
De sa haine surgit la colère
Et son coeur devient verre.
Dans la nuit qui se lève
C’est sa vie qui s’achève.
Le poète (c) Jer
trop beau
C’est gentil !