Loin d’où tu es,
Je pensais pas,
Que tu me manquerais,
Loin d’où tu es,
Pourtant si près,
On aurait pu se dessiner,
Un coeur dans l’océan,
De nos vastes sentiment,
Egarés au fil du temps,
Par des baisers manqués,
Loin d’où tu es,
Je pensais pas,
Que toutes ces petites choses,
Auraient tant de sens pour moi,
Que pourtant si près,
Tu me manquerais,
Loin d’où tu es,
Mes mains ne peuvent plus te frôler,
Ton visage se décompose en moi,
Je pensais pas te laisser,
Je ne pensais pas espérer pour rien,
Loin d’où tu es,
Je ne voulais pas m’éloigner des miens,
Et m’enfermer,
Je pensais pas que tu me manquerais,
Loin d’où tu es,
Mais pourtant si près,
On aurait pu montrer à tout ces gens,
Que ensemble nous sommes grand,
Loin d’où tu es,
Je ne pensais pas que toutes ces petites choses,
Auraient tant de sens pour moi,
Tu me manques,
Oui tu me manques.
Poète : Edensky
commme toujours c’est avec un réel plaisir que je découvre de nouveau poème tout en finesse et en sentiment. Une nostalgie qui ne tombe pas dans un pessimisme mais au contraire une analyse de ce à côté de quoi l’on peut passer parfois.
bravo à toi – merci pour ce beau texte
gros bisous
régine
Merci régine !
Merci ça fait plaisir de voir un de mes nombreux textes repris par ici (par jer merci à toi d’ailleurs) je mettrais ton site parmi les liens de mon blog et merci du commentaire regine ^^
Merci à toi de m’autoriser à le publier