Pensées d'Ailleurs

J’ai senti mon coeur se briser
Sans qu’il ne saigne.
Il y avait tant d’éclats
Que mon âme a pleurée.

J’ai laissé cette chaleur
Se glisser dans mes veines
Et j’ai aperçu la lumière.

J’aurais pu dire ce qui m’arrivait
J’aurais pu dire ce que je ressentais
Mais j’ai gardé le secret
Et si je pars, est-ce sans regrets ?

J’ai senti mes mains bouger
Sans même les contrôler
Et je suis resté figé.

J’aurais pu trouver toutes les raisons
Mais aucunes n’y suffiraient.

J’aurais pu dire que la rivière
Dans laquelle je me suis noyé
Etait les larmes que mon corps a versées.

Poète (c) Jer

Elle est « beau »
« D’une » oeil qui l’observe
Elle est « chaud »
La lumière dans « ma » rêve.

Et si mes mots se perdent autant
C’est parce-que j’ai succombé à ta beauté
Que tu abondes en dehors comme en dedans.
Et mon coeur ne bat alors que pour te contempler.

A déraison « ton » présence
M’accable de déficience
Mélange mots certains
Des troubles soudains.

Et si mes mots se perdent autant
C’est que je n’arrive pas à dévoiler
A quel point je peux t’aimer
En dehors, comme en dedans.

Poète (c) Jer