Qui es-tu ?

Publié dans Vos poèmes | Une griffe

Pas si loin

Loin si loin, je t’en prie reviens
Pas maintenant tu sais bien
Si seule tellement tu me manques
Moi aussi, parfois je me planque.

Tu m’imagines, tu me regardes
Tu es si belle je ne peux pas
Parfois j’ai l’impression que tu es là
Alors regarde-moi et garde-moi !

J’aimerais de te voir, je te garde
Tu te retournes et je suis derrière toi
Tu n’es seulement qu’une illusion
Mais ne l’est pas notre liaison.

Toujours les mots qui réconfortent
Je sais, attends-moi et sois forte.
Quand reviens à quand me rejoins ?
Bientôt car loin n’est pas si loin.

Mais tu n’es pas là, je ne te vois pas
Loin de tes yeux mais dans ton coeur
Embrasse-moi quand tu rentreras
Je t’envoie mon amour, ma fleur.

Poète (c) Jer
Ecrit le 08 decembre 1997.

Publié dans Mes poèmes | 2 griffes

Prise de conscience

La vie, si différente pour chacun, si présente
Est une musique au rythme quotidien,
Saccadée, douce et changeante
Une musique vive et sans frein.

La symphonie du bien ou du mal
Une marche au rythme sans égal,
A la recherche de la connaissance,
Dans les profondeurs de sa conscience.

Loin, vivre encore et encore,
Changer, sous plusieurs formes,
Vivre différemment, vivre après sa mort
Oublier le début et la fin, soulever les normes.

Rien n’a de sens, la vie en a-t-elle ?
Pour quelle évolution ? Si belle.
Choisir, confronter, réfléchir,
Se perdre, Tout pour s’enrichir.

Vivre maintenant, vivre demain,
Sans chercher les réponses,
Sans chercher les réponses…
Elles tomberont dans nos mains.

Poète (c) Jer
Ecrit le 09 mars 2005

Publié dans Mes poèmes | Une griffe

Ma douleur

Au temps qui passe
Des souvenirs, rien ne s’efface
Si doux et mal à mon coeur
Tu es la cause de ma douleur.

Poète (c) Jer
Ecrit pour mon frère, d’après ce qu’il ressent.

Publié dans Mes poèmes | 6 griffes

Manipuler

Blessure d’un jeu cruel
Et larmes d’un désir fatal,
La fleur est partie sans pétales :
Il n’y a plus de plaisir charnel.

C‘est comme une rose qui vous enflamme
Elle vous manipule par sa beauté.
Ses pétales forment un vrai coeur de femme
Mais ce n’est que pour vous emprisonner.

Elle se délaisse de son maquillage
Et vous montre son vrai visage.
Elle vous blesse de son venin
Ce venin qui n’atteint que votre chagrin.

Quand la rose est la tige
Il n’y a que la douleur qui reste du vestige
Dont la plaie reste parfois éternelle.

Poète (c) Jer
Ecrit le 27 juin 1998.

Publié dans Mes poèmes | 2 griffes

Se souvenir

Quand parfois il arrive voir noir
Il faut imaginer blanc !
Les souvenirs de la mémoire
Sont parfois qu’une illustre image
De la peur du soleil couchant,
De la fuite et du grand voyage.

Larmes, pleurs, tristesse, chagrin,
Vient la brume des remontrances
Et s’installe la douleur forte d’un venin :
Il suffit d’un pas et tout balance.

Des fleurs ont été posées sur ta tombe
Des mots tendres et des souvenirs à ton attention.
Perdu, les yeux fixés vers l’horizon,
C‘est dans nos coeurs que la nuit tombe.

Maintenant, on attend que passe,
Aussi bien de jour que de nuit,
Les souvenirs de toute une vie.
On n’oublie pas, les rêves s’entassent.

Poète (c) Jer

Publié dans Mes poèmes | 2 griffes

Si mal

Ma vue tout à coup se trouble
L‘impression de tomber de haut
La douleur passe et redouble
Je transpire, tout mon corps est chaud.

La lumière m’aveugle, elle m’insupporte
Derrière la tête douleur trop forte.
Le bruit m’irrite, le mal est grand
Il évolue alors qu’encore enfant.

Seulement vouloir se reposer
Dans le noir et le silence
Ne pas perdre connaissance.
Si mal que croire m’envoler.

Souffrance, ne plus se contrôler
Devant tout prendre et balancer :
Inquiet, ne pouvant rien faire
J‘ai peur, ce mal un vrai mystère.

strong>Poète (c) Jer
Ecrit le 05 novembre 1997.

Publié dans Mes poèmes | 2 griffes

Medley souvenirs, rêves, illusions

La lumière s’est éteinte, je ne vois plus rien
Dans le noir qu’est la nuit, je me suis assoupi.
J‘ai observé longtemps et continué ce rêve ancien
Qui grandit chaque jour avec moi comme s’il était ma vie.

Illusions d’un soir
Rêves de toutes les nuits
C‘est ainsi l’espoir.

On n’oublie pas, on se souvient.
On ne le lâche pas, on y tient.
On le garde, il nous appartient
LE PASSE

Sombre brouillard, très léger
Pâle, un arbre, s’apaiser
Seul, calme, s’écarter.

Un souvenir,
Un sourire
Des larmes aussi.

Endormi, belle nuit
Rêves illusoires
Mais plein d’espoir
Rêves pleins de vie.

Brume légère
Croix en terre
À côté, une fleur
Enfoui dans le coeur

Imagine,
Et reconstruit.

Souviens-toi
N‘éloigne pas

Dans le noir, seul, au calme
Se repose mon âme.

La lumière est revenue, je vois à nouveau
Je n’ai rien oublié, la suite va continuer
C‘est une vie, un espoir, le plus beau rêve.

Poète (c) Jer

Publié dans Mes poèmes | 2 griffes